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Informations

Zani

Zani VA

Chinois: Nie Xiying
Japonais: Ueda Hitomi
Coréen: Won Esther
Anglais: Alexandra Metaxa

Rapport d'Examen Forte de Zani

Puissance de Résonance

Marque flamboyante

Rapport d'Évaluation de Résonance

[Profil d'employé de la Chambre forte d'Averardo : Autorisation d'accès confirmée]. Nom de l'employée : Zani. L'historique d'éveil de l'employée Zani demeure inconnu. Le niveau de développement de son Forte et sa fréquence d'utilisation sont tous deux élevés. La Marque taciturne de Zani traverse diagonalement son dos. Suite à son éveil, elle a subi d'importantes mutations physiques, notamment l'apparition de cornes semblables à celles des ongulés et d'une queue fine s'étendant depuis son coccyx. Zani peut temporairement stocker l'excès d'énergie cinétique dans son corps pour améliorer ses capacités physiques en activant son Forte. Cette énergie stockée se manifeste visiblement sous forme de flux d'énergie lumineux débordant de ses cornes, sa queue et ses cheveux. De plus, des motifs lumineux similaires à des cicatrices apparaissent sur le haut de son corps. D'après elle, ces cicatrices ont guéri avec le temps, ne laissant que de légères marques à peine visibles à l'œil nu. On suppose que la structure fragile de la peau cicatrisée facilite la concentration d'énergie dans ces zones. Zani raconte un incident survenu il y a des années, au cours duquel elle fut grièvement blessée lors d'une tentative d'agression orchestrée par ▇▇▇▇▇▇▇. C'est au milieu de cette attaque qu'elle a éveillé son Forte, repoussant avec succès ses agresseurs grâce à ses nouvelles capacités. L'analyse du Spectre de Résonance n'a pas pu de déterminer la cause de son éveil. L'analyse de l'échantillon a révélé une Courbe de Rabelle non convergente. Ainsi, Zani est identifiée comme une Résonatrice mutée avec une période d'incubation. « Les traits physiques distinctifs de Zani, après son Éveil, me rappellent ces légendes oubliées que la famille a recueillies. Elles racontent les récits d'entités surnaturelles et effrayantes qui rôdaient dans l'ombre bien avant la Lamentation. Pourraient-elles être liées à la cause de son Éveil ? Ou c'est seulement une étrange coïncidence ? » « Ne vous en faites pas trop. Peut-être, elle a été éveillée par un Cabriyack ou une chèvre. »

Rapport de Diagnostic Overclock

[Profil d'employé de la Chambre forte d'Averardo : Autorisation d'accès confirmée]. La figure en forme d'onde de cette employée présente des fluctuations elliptiques. Le schéma temporel est régulier et ne montre aucun signe de fluctuation anormale. Les résultats du test sont dans la phase normale. Risque : le seuil d'overcloking est élevé. La fréquence de Zani présente une grande stabilité sans risque d'Overclocking. Les registres n'indiquent aucun antécédent d'overclocking. Aucun suivi psychologique n'est nécessaire actuellement. « Franchement, ces résultats ne me surprennent pas. La force mentale de Zani est probablement plus robuste que les murs anti-explosion de la Chambre forte ! Vu tout le stress qu'elle gère au travail, je ne serais pas étonné qu'elle ait trouvé des méthodes très efficaces pour décompresser. Je lui en parlerai après avoir terminé mes programmes aujourd'hui. Ce serait formidable de partager ses conseils avec les autres résonateurs de la famille. » — Aide-mémoire du département de recherche. « Mes méthodes pour évacuer le stress ? Eh bien, parfois, je fais, euh, du bénévolat après les heures de travail. Ça compte ? » — réponse de Zani.

Objets Précieux & Faveurs de Zani

Aide-mémoire personnel
Aide-mémoire personnel
Un carnet, le compagnon fidèle de Zani. Elle ne s'en sert pas uniquement pour noter son emploi du temps et ses tâches importantes. Il contient aussi des astuces de vie qu'elle a glanées au fil du temps. Une recette trouvée par hasard sur un forum, un guide de réussite tiré d'un best-seller, un tutoriel pour réparer une machine à laver en cinq minutes, Zani collectionne toutes sortes d'astuces apparemment inutiles. Correction. Complètement inutiles. Mais pour Zani, chaque note est un élément précieux de sa vie quotidienne. Elle garde l'espoir qu'un jour, ces astuces lui seront utiles. Peut-être aujourd'hui après le travail, ou lors de ses prochaines vacances, si lointaines soient-elles.
« Maître du temps »
« Maître du temps »
Un réveil, le compagnon fidèle de Zani. Ce réveil est un peu hybride. Son design et sa texture rassemblant à ceux d'une montre de gousset, mais un peu plus grande. Sa sonnerie réveille Zanni pile à l'heure chaque matin de la semaine, marquant le début de sa journée. En tant qu'employée de la famille Montelli, elle gère d'immenses richesses et des secrets bien gardés, le moindre retard peut entraîner des pertes considérables. C'est pourquoi la ponctualité est cruciale pour elle. Zani découpe méticuleusement sa journée en plusieurs parties pour accomplir toutes les tâches dans les délais impartis. Certains pensent qu'elle a un don naturel pour la gestion du temps, mais seuls les anciens employés peuvent vraiment en témoigner. Zani a travaillé sans relâche pour atteindre une telle efficacité.
Un signe de gratitude
Un signe de gratitude
Pour Zani, aider les autres n'est juste qu'une partie de sa routine quotidienne et non pour la vanité ou pour la reconnaissance. Ayant elle-même traversé des moments difficiles, elle comprend l'importance d'aider les autres. C'est pourquoi, après avoir trouvé la force de résister à la cruauté, elle choisit d'être une altruiste. Elle est comme ça, tout simplement. Quelques cicatrices sur son corps lui rappellent un enlèvement oublié depuis longtemps par les Ragunnesi. Après tant d'efforts, elle parvient à secourir une fillette kidnappée. Par gratitude, la petite a offert ce jouet à Zani avant l'arrivée de ses parents. Bien que Zani considère ses actions comme normales, mais elles peuvent changer le destin des autres. Elle n'y réfléchit pas trop. Quoi qu'il en soit, elle chérit ce jouet.

Histoire de Zani

Une habituée
Il était déjà minuit, et les lumières des vitrines s'étaient éteintes, laissant la ville animée de Ragunna enveloppée dans une étreinte solennelle et silencieuse. Même Signor Poulpe sur le clocher semblait avoir dérivé vers le pays des rêves. Enfin, si seulement les Échos pouvaient rêver.
« Il semble qu'il n'y aura plus de clients ce soir », bâilla Margherita. « Je ferais mieux de finir le ménage et de rentrer chez moi. »
« Ciao, Margherita. Comme d'habitude. Un vin de nectar et des quartiers de pommes de terre. Ajoute plus de confiture de Fraisier de Duchesne et du poivre noir. Merci. »
À ce moment précis, elle entendit une voix familière derrière elle, bien qu'elle portât un poids indéniable d'épuisement et de somnolence inhabituel. C'était comme si l'esprit de son propriétaire avait été emporté aux cieux par l'Imperator, ne laissant qu'une coquille vide. Ce ton sans vie aurait pu effrayer ceux qui ne connaissent pas Ragunna.
« Ça fait un moment que tu n'es pas passée, Zani », dit Margherita, toujours occupée à nettoyer des miettes de pizza dans le four.« Tu viens de finir le boulot ? Tu étais occupée ces derniers temps »
« Oui, on peut dire ça », répondit Zani, le regard fixé sur le comptoir comme si elle contemplait une pile de rapports fraîchement imprimés plutôt que des pizzas appétissantes. « Tu sais, avec le Carnaval qui approche, la banque nous fait travailler comme des forcenées. Pas que ça change grand-chose. De toute façon, les tâches ne semblent jamais diminuer. »
« Pour nous, les Montelli, le Carnaval est à la fois une opportunité et un défi », se rappela Zani des paroles d'Alberto lorsqu'elle avait reçu cette mission. « Pour l'avenir de Ragunna, nous devons tous jouer notre rôle. »
Pour Zani, ces mots sonnaient creux. Elle travaillait pour la banque parce qu'ils la payaient. Elle n'était pas une actrice ici pour « jouer un rôle ». Pourtant, elle devait admettre que l'invité qu'elle s'apprêtait à protéger avait allumé des braises de curiosité dans son cœur. Les quartiers de pommes de terre qui grésillaient dans la friteuse dégageaient un arôme appétissant qui fit grogner son estomac en signe de protestation.
« Que devrais-je prendre pour le petit-déjeuner demain ? » se demanda-t-elle. « Les crêpes de ce matin étaient froides et m'ont donné mal au ventre. Je devrais peut-être opter pour une bouillie de céréales avec des œufs au four... Oh, et je devrais sans doute y rajouter deux cuillères de sucre... »
C'est alors qu'un léger craquement perça le silence de minuit. Margherita, occupée avec la friteuse, ne remarqua rien. Peut-être que la ville endormie de Ragunna ne l'avait pas remarqué non plus. Mais Zani, si. Elle leva les yeux et aperçut une ombre se faufiler sur les toits. Le bruit provenait d'une tuile détachée par un pas négligent.
Le Carnaval attirait bien plus que de simples touristes respectueux des lois. Avec un soupir résigné, Zani sortit son portefeuille et déposa quelques Crédits coquilles sur le comptoir. Adieu, son casse-croûte de minuit.
« Ta-da ! Tes quartiers de pommes de terre sont prêts, Zani... » s'exclama Margherita se retournant, une assiette à la main, pour découvrir que le siège où Zani était assise quelques instants plus tôt était déjà vide.
Ombre de la flamme
Extrait de l'édition spéciale du Pioneer Express : Gardienne de la Nuit : incarnation de la justice ou criminelle rusée ?
« Au moment où j'apprêtais à crier, cette silhouette file juste au-dessus de ma tête ! Lui, non, non, elle. Oui, je pense que c'était une femme. C'était difficile d'y voir clair, car elle se déplaçait si vite, et dans l'obscurité. Mais je jure qu'il y avait quelque chose sur sa tête, comme d'étranges épingles à cheveux Ou peut-être juste ses cheveux fouettés par le vent ? Je ne peux pas l'affirmer avec certitude... »
Sabrina (Femme, 36 ans), l'un des témoins oculaires connus.
« Les frères de la Chambre de Discipline ont finalement pris une décision, déclarant cette hors-la-loi vertueuse. Je m'opposais fermement à leur jugement à l'époque, et je m'y oppose toujours ! Cette hors-la-loi devrait être responsable de dizaines d'agressions à Ragunna ! Oui, oui, je sais que ceux qu'elle a attaqués étaient des criminels, mais c'était à la Chambre de discipline de les appréhender au nom de l'Imperator et les condamnés sous le regard solennel de la Sentinelle ! Pas par une voyou qui fait sa propre justice ! C'est un défi flagrant à l'autorité de la Sentinelle ! Ici à Ragunna, seule la Sentinelle a le droit de juger les coupables ! »
Acolyte anonyme de la Chambre de discipline
« Oui, plusieurs de mes voisins l'ont vue. Elle est devenue plus extrême ces derniers temps. Ils l'appellent même la « Bouchère des criminels »... Elle ne tue jamais, c'est ça ? Eh bien, je n'y crois pas. Elle s'occupe des pires criminels, après tout. Chacun se défend quand sa vie est en jeu. À moins qu'elle ne soit bien plus forte que ces criminels, mais est-ce même possible ? »
El Lawson (Homme, 42 ans), Ville d'Egla. Le tristement célèbre « Exterminateur de peluches » a été interrompu par cette mystérieuse silhouette alors qu'il tentait d'attaquer un Écho en peluche. Comme les résidents d'Egla évitent strictement de sortir après la tombée de la nuit, personne n'a pu voir clairement son visage.
« Je suis sur la piste de la vengeresse envoyée par la Sentinelle. Pourquoi je pense qu'elle est liée à la Sentinelle, demandez-vous ? N'avez-vous pas entendu parler des flammes du châtiment qui émanent de son corps ? Ces flammes saintes et justes doivent être les bénédictions de la Sentinelle. Plus sa cible est maléfique, plus les flammes s'intensifient. On l'appelle la démone ? Oh, c'est absurde... Quel genre de démon se bat pour la justice ? »
Rhea (Femme, 33 ans), Acolyte de la Chambre de discipline. Elle a participé à une enquête sur cette mystérieuse silhouette il y a plusieurs années.
« Je travaillais tard ce soir-là. En passant devant la porte de la Chambre de discipline, j'ai vu Talos de la Ruelle noire ligotée avec sa bande, tous inconscients. Bon, c'était peut-être juste mon imagination, mais dans la faible lueur du matin, je crois avoir vu quelqu'un accroupi sur le toit en face de la Chambre. Elle a disparu en un clin d'œil. Je me souviens qu'elle était couverte de blessures, comme si elle venait de traverser l'enfer. Quoi ? Vous voulez dire qu'elle a neutralisé Talos et sa bande toute seule ?! »
Enregistrement audio archivé datant de plusieurs années. L'identité du locuteur reste inconnue.
La plupart de ces cas remontent à plusieurs années, et les témoignages recueillis jusqu'à présent sont souvent contradictoires et manquent de détails. Cependant, une chose reste claire : la seconde Marée noire et l'incident du Carnaval d'il y a dix ans ont infligé de graves dommages à Ragunna. Durant le chaos qui a suivi, une figure mystérieuse est apparue, punissant le mal sous le couvert de la nuit. En ces jours sombres, beaucoup de ceux qui avaient perdu la foi formaient des gangs, se délectant du crime. Ce n'est que lorsque cette femme mystérieuse a commencé à les traquer un par un, les livrant à la prison, que l'ordre a finalement été rétabli à Ragunna.
Peu de gens dans la ville sont disposés à parler de ces années douloureuses. Comme pour les traditions du Carnaval, les habitants de Ragunna croient que l'Imperator souhaite qu'ils célèbrent la joie plutôt que de s'attarder sur les cicatrices du passé. En conséquence, les récits de cette figure mystérieuse, ou de la soi-disant « Rôdeur des flammes », se sont estompés en légendes lointaines. Cependant, lors du récent Carnaval, des murmures ont recommencé à circuler, quelqu'un affirmant avoir aperçu une silhouette ressemblant aux légendes, errant dans les rues.
Pour Ragunna, est-ce le présage d'une nouvelle crise ? Ou simplement un imitateur frénétique d'un héros du passé ? Seul le temps nous le dira.
Meilleure employée
« Oui, la famille Figaro prétend avoir réglé le paiement il y a trois jours.Leur garant « respecté » ? Disparu dans la nature. Maintenant, ils essaient de faire passer cette preuve fragile pour une erreur comptable de notre part. » Zani haussa les épaules, son ton calme et décontracté, comme si elle discutait simplement avec un Sabre Acorus dans le jardin. « Oui. Apparemment, ils tentent de nous arnaquer. Une vieille ruse qui existe depuis que les Ragunnesi ont commencé à pêcher depuis leurs Gondoles. Ce n'est rien, je vais « négocier » avec eux. Très bien, c'est réglé alors. Ciao. »
Zani raccrocha, glissant le registre sous son bras en sortant du bureau. Derrière elle, des chuchotements se répandirent dans l'espace de travail. Ce n'était pas que ses collègues doutaient de ses capacités. Ils savaient tous trop bien comment cela finirait. Une affaire mineure comme celle-ci ne ferait pas la une des journaux. Tout au plus, elle serait attachée dans un coin en bas d'une colonne, aux côtés des avis de recherche et des publicités bon marché. Les journaux ne mentionneraient certainement pas Zani ou la famille Montelli. Peut-être y aurait-il un bref rapport sur quelques membres de la famille Figaro blessés par un échafaudage renversé près de la tour de l'horloge, ou sur la façon dont le chef des Figaro a généreusement financé les arts pour leur fidèle partenaire commercial, la famille Montelli.
Zani était-elle la meilleure employée de la banque ? Sans aucun doute.
Ses performances professionnelles exceptionnelles piquaient souvent la curiosité des nouvelles recrues. Elle travaillait tard dans la nuit chaque jour, arrivant au bureau épuisée, des cernes sous les yeux. En plus de cela, elle s'occupait des missions de terrain les plus dangereuses, sans jamais échouer. Les employés plus anciens parlaient d'elle avec un ton presque révérencieux, comme si elle était une divinité omnipotente. On racontait que si on lui confiait la mission d'attraper Cetus le Brise-marée avec rien d'autre qu'une nouille humide, elle reviendrait avec cette « petite » baleine le lendemain matin, pile à l'heure, comme s'il s'agissait simplement d'une pizza à emporter.
Comment pouvait-elle être aussi polyvalente ? Personne ne le savait.
Certains novices s'efforçaient d'imiter chaque geste et habitude de Zani, persuadés que cela leur révélerait le secret de son excellence. Ils avaient remarqué qu'elle ne se séparait jamais de sa boisson énergisante et supposaient que c'était la source de son endurance surhumaine, comme le Champignon Héliobane pour un marin de Riccioli dans une vieille bande dessinée. Alors, ils avalaient des boissons énergisantes, convaincus que cela les aiderait à tenir toute la nuit et à accomplir des projets légendaires, comme Zani. Pourtant, ils finissaient souvent affalés sur leur bureau, courbaturés d'avoir dormi sur leur chaise, pour se faire ensuite réprimander par leurs supérieurs le lendemain pour leur manque de productivité.
Qu'est-ce qu'elle avait en tête ? Personne ne le savait.
Les employés les plus anciens se souvenaient vaguement de Zani quand elle venait d'arriver à la banque. C'était une jeune femme silencieuse, distante, un peu téméraire, et un peu trop à l'aise avec la violence. Mais en deux mois, elle avait maîtrisé toutes les procédures, et deux mois plus tard, elle rivalisait presque avec les meilleurs employés de la banque. À sa troisième année, le badge de « meilleure employée » n'était plus qu'un bibelot qu'elle recevait avec sa paie.
Mais qu'est-ce qui la poussait à aller si loin ? Les réponses variaient. Certains croyaient qu'elle avait un amour profond pour Ragunna et qu'elle estimait que c'était son devoir de protéger la ville. D'autres pensaient qu'elle était ambitieuse, visant à gagner le nom des Montelli et qu'elle convoitait peut-être même la position de chef de famille. D'autres encore soupçonnaient que les Montelli lui versaient une somme considérable au-delà de son salaire standard pour la garder avec eux.
Si quelqu'un osait poser la question directement à Zani, elle se contenterait de cligner des yeux, imperturbable.
« C'est intéressant. Mais je ne suis qu'une simple employée. Mais je viens d'avoir une idée. Si tu es convaincu que mon département paie si bien, pourquoi ne pas demander un transfert ? Ça m'allégerait un peu la charge de travail. Puisqu'il s'agit juste d'un transfert interne, je ne pense pas que cela serait une infraction de la clause de non-concurrence, n'est-ce pas ? »
Marcheuse solitaire dans l'obscurité
... Je pourrais encore y arriver à temps.
Zani filait à travers les ruelles sombres, la douleur vive sur son épaule lui rappelant sa récente mésaventure. Cette brute, dont les poignets étaient presque aussi épais que son cou, avait failli l'achever. Elle avait prévu de l'assommer avant qu'il ne puisse réagir, mais il s'était montré plus rapide que prévu. Heureusement que ses réflexes étaient plus aiguisés que les siens. Sinon, ce couteau n'aurait pas simplement laissé une profonde entaille sur son épaule, mais se serait planté directement dans son cœur.
Ce n'était pas sa première blessure. Elle avait depuis longtemps cessé de compter les plaies accumulées ces derniers mois à combattre le crime. Elles guérissaient, après tout. Et puis, elle était certaine que ceux qui lui avaient infligé ces blessures avaient fini bien plus mal qu'elle.
Sa stratégie était simple : donner du fil à retordre à ces criminels sans jamais révéler son identité, puis disparaître avant que les agents n'arrivent pour nettoyer le désordre. Ce n'était pas par héroïsme. Elle n'était simplement pas assez stupide pour mettre une cible dans son dos et risquer d'être chassée de Ragunna, contrainte de se cacher dans une misérable bourgade privée des bienfaits des pizzas et du vin de nectar.
Il était toujours plus sûr de faire profile bas.Se faire passer pour quelqu'un d'ordinaire. Quelqu'un que personne ne considérait comme une menace.
Les cibles de ce soir étaient des kidnappeurs. Elle les suivait depuis des jours, et leur chef, l'homme costaud de tout à l'heure, n'était pas qu'un tas de muscles. Un Résonateur rusé. Mais il avait commis une erreur fatale en s'éloignant seul, lui donnant l'opportunité parfaite pour frapper. Maintenant, il lui suffisait d'éliminer les autres avant qu'ils ne réalisent que leur chef avait disparu.
Elle resserra sa prise sur ses poings américains, relâchant ses poignets.
« Le patron devrait bientôt revenir, hein ? La maison de cette gamine n'est pas si loin », bâilla l'homme dégingandé, jetant un coup d'œil à la petite fille recroquevillée dans le coin d'une cage en bois, serrant une poupée contre elle. Il leva le menton vers elle : « Alors, c'est quoi le plan après avoir reçu l'argent ? Moi je dis qu'on devrait juste la laisser partir. »
« Mais elle a vu nos visages », soupira le nabot. « Si on la laisse partir, on risque d'être traqués par ce... Comment ils s'appellent déjà ? Le Rôdeur trucmuche ? »
« Le Rôdeur des flammes », corrigea l'homme dégingandé. « Je comprends pourquoi le patron s'inquiète, mais un marché est un marché. On prend l'argent, on libère la fille. La tuer serait excessif. »
« Par le nom de l'Imperator, Ragunna est depuis longtemps une terre sans lois », marmonna le petit homme, un silence sinistre s'installant entre eux. L'homme dégingandé se tourna pour regarder la fille dans la cage, mais détourna rapidement son regard comme s'il s'était brûlé.
« ...J'ai besoin d'air. »
L'homme dégingandé se leva, agacé, et ouvrit la porte de leur planque. L'air froid lui donna un frisson, mais cela ne dura pas longtemps. Avant qu'il ne puisse réagir, un objet métallique et froid s'écrasa contre son front, et l'obscurité l'engloutit totalement.
« Qui, qui diable es-tu ? »
Le nabot se précipita vers l'arme de l'autre côté de la table. Il y était presque, mais l'intrus fut plus rapide. Alors que sa conscience commençait à s'évanouir, il sentit ses doigts effleurer la crosse du pistolet. C'était fini.
J'ai réussi, pensa Zani, poussant un soupir de soulagement. La blessure sur son épaule s'était rouverte, mais ça en valait la peine.
D'un seul coup de poing, elle brisa le verrou de la cage en bois, retira le manteau de l'homme dégingandé et l'enveloppa autour de la fillette tremblante. Elle avait envoyé une lettre anonyme à la Chambre de discipline en venant ici. Si tout se passait bien, les agents arriveraient bientôt. Il était temps pour elle de partir.
« Ex-excusez-moi... »
Zani se retourna au son de cette voix et vit la petite fille debout derrière elle, hésitante. Rassemblant tout son courage, la fillette tendit son jouet précieux.
« C'est, c'est pour toi ! Merci de m'avoir sauvée ! »
Pas besoin. Je ne l'ai pas fait pour que tu me remercies.
Pourtant, Zani ravala ses mots avant qu'ils ne franchissent ses lèvres. Elle s'accroupit, croisant le regard apeuré de la fillette. Dans ces yeux innocents, elle se voyait elle-même, son passé. La Zani solitaire. La Zani impuissante. La Zani qui ne pouvait rien faire.
Alors, elle sourit et tendit la main, ébouriffant les cheveux de la fillette avant de prendre la poupée.
« Merci », dit-elle doucement. « J'en prendrai bien soin. »
Veille du Carnaval
Zani n'est pas sûre de savoir si elle rêvait ou non. Mais si c'est le cas, cela lui est vite sorti de la tête. Elle ouvrit les yeux et éteignit le réveil qui sonnait encore à son chevet.
La lumière de l'aube perçait à travers les fenêtres, Projetant une douce lueur dorée autour du tapis. Elle prit une minute pour se forcer à se réveiller complètement, dissipant le dernier fragment du rêve dans le néant.
Peu importe. Ce n'était probablement pas un bon rêve de toute façon.
Ses fréquentes heures supplémentaires avaient fragmenté ses rêves, les rendant dénués de sens. Même lorsqu'elle fessait de baux rêves, elle passait la nuit entière à traiter les rapports inachevés de la journée. Être éveillée ne lui offrait aucun moyen d'échapper à la pression, alors pourquoi s'attendrait-elle à en trouver un dans de simples rêves ?
« Bon, assez de sentimentalisme. J'ai une mission importante à accomplir. » Zani se tapota légèrement les joues pour se sortir de ses pensées. Elle savait qu'elle devait bien gérer cette mission si elle voulait obtenir ces congés payés promis par son superviseur.
Face au miroir, elle ajusta méticuleusement sa tenue, réarrangeant sa cravate à plusieurs reprises jusqu'à ce qu'elle trouve sa place idéale. Elle ne savait pas grand-chose de {Male=ce mystérieux invité;Female=cette mystérieuse invitée}. Tout ce qu'elle savait, c'est {Male=qu'il;Female=qu'elle} possédait un Écho très spécial, et que la famille lui avait fourni une belle somme d'argent.
Pour une raison qu'elle ignorait, elle sentait que cette affaire cachait quelque chose. Peut-être que le malaise persistant de cet étrange rêve avait perturbé son esprit, mais elle ne pouvait se débarrasser du sentiment que tout ce qu'elle et ce précieux invité feraient dans les jours à venir déciderait du sort de nombreux Ragunnasi.
« Bon, bref. Je ne suis qu'une employée ordinaire. » Tellement ordinaire que si un panneau tombait du quartier des Montelli, une douzaine de ses pairs seraient anéantis. Zani prit sa cape du porte-manteau et la drapa sur ses épaules, comme elle le faisait chaque matin. Zani décrocha sa cape du porte-manteau et la drapa sur ses épaules, comme elle le faisait chaque matin.
Elle bâilla. Heureusement, aucun de ses collègues ne l'avait vue.
Elle n'avait pas beaucoup de tâches aujourd'hui. M. Alberto lui avait dit qu'elle serait libre de partir une fois qu'elle aurait aidé {Male=cet estimé invité;Female=cette estimée invitée} en noir à conclure ses affaires à la banque. Après cela, sa seule responsabilité serait de servir de garde du corps et de guide à {Male=ce dernier;Female=cette dernière} jusqu'à la fin du Carnaval. Ça semblait être une tâche facile.
« Je fais juste mon travail et tout ira bien. » Zani prit une profonde inspiration. Mais curieusement, elle se sentait étrangement nerveuse, sa queue s'agitant involontairement derrière elle.
« {Male=S'il;Female=Si elle} arrive à l'heure du déjeuner, je peux suggérer de manger à la Trattoria Margherita pour déguster les spécialités de Ragunna. Et {Male=s'il;Female=si elle} refuse, je passerai au plan B », Zani passa rapidement en revue son programme. « On pourra prendre des pizzas à la Boulangerie de Bratta et profiter d'un après-midi tranquille au Havre aux murmures... » Elle révisa encore et encore son programme et se permit enfin de se détendre un peu quand elle ne trouva plus aucune faille.
Un léger sourire se dessina au coin de ses lèvres. Là, à travers la porte de la banque, elle aperçut {Male=cet invité;Female=cette invitée} de marque. {Male=Vêtu;Female=Vêtue} de noir et avec des yeux d'un doré éblouissant. Exactement comme prévu.
« Nous vous attendions, {PlayerName}. Bienvenue à la Banque d'Averardo, {Male=monsieur;Female=mademoiselle}. »

Lignes de Voix de Zani

Pensées : I
Dis-moi, {PlayerName}, ton accueil avant le Carnaval, ça t'a convenu ? Tu te demandes pourquoi je reviens là-dessus ? Eh bien, recueillir l'avis de nos clients, ça fait partie de mon travail. Et vu que tu es {Male=l'invité;Female=l'invitée} d'honneur de la famille Montelli, ton retour est évidemment très important pour moi.
Pensées : II
Pour un employé de la famille Montelli, l'apparence est primordiale. Peu importe l'intensité de la journée, présentez-vous toujours de manière irréprochable. Comme le dit si bien le Manuel de l'employé : « Une étiquette et une tenue impeccables vous donnent l'avantage dans les négociations. »
Pensées : III
Je ne déteste ni le travail ni les heures supplémentaires, tant qu'ils ont un but. Si on me force à rester assis à ne rien faire ou à sacrifier mon temps personnel pour des tâches insignifiantes... Alors ce que je gagne n'est plus un salaire, mais une compensation pour le morceau d'âme qu'on m'a arraché.
Pensées : IV
Tu as l'air fatigué, {PlayerName}. Je comprends que tu portes un lourd fardeau. Mais je te conseille de faire des pauses dès que possible. Tu ne veux pas finir comme moi. Après mes premières heures supplémentaires, je me suis vite retrouvé à travailler sans relâche. Crois-moi, sauver le monde peut attendre.
Pensées : V
Je pensais que la vie n'était qu'une répétition sans fin des mêmes journées. À force de m'user sur des banalités, de tourner en rond jusqu'à ce que les plus petites joies s'estompent. Mais tu as fait ton apparition alors que je m'étais résignée à cette existence. Comme le Carnaval lui-même, tu as fait éclater les couleurs dans ma vie.
Activité préférée de Zani
J'« adore » mon travail ! Vraiment. Sans blague. Est-ce que je souris ? Non ? Voilà, tu as compris.
Les soucis de Zani
L'efficacité est primordiale au travail. Il s'agit d'aller droit au but. Certains ne comprennent pas ça. Au lieu de cela, ils perdent leur temps sur des détails insignifiants, privilégiant la forme au fond. C'est vraiment dommage. Ça ne résoudra rien. Ça ne fait que compliquer davantage les choses.
Plat préféré
Mon restaurant préféré est la Trattoria Margherita. Il n'y a rien de tel qu'une part de pizza fraîchement préparée par Signorina Margherita après une longue journée de travail pour à la fois remplir mon estomac et apaiser mon âme.
Plat inacceptable
Les employés de la famille Montelli ne jurent que par l'espresso, sans sucre ni lait, pour rester dynamiques. Mais pour ma part, le travail est déjà assez pénible... Je préfère me faire plaisir avec quelque chose de sucré.
Idéaux
J'ai grandi à Ragunna, et je connais chaque recoin de cette ville comme ma poche. La brise marine qui nous accueille, la place animée remplie de visages familiers, les nouveaux produits rutilants dans les vitrines, les arômes qui s'échappent de la Trattoria Margherita. J'espère que cette vie paisible ne s'arrêtera jamais. J'espère que chacun y trouvera sa place. Pour moi, ce serait suffisant.
Discuter : I
Hmm ? Pourquoi cette montre de poche est si grande ? En fait, ce n'est pas vraiment une montre de poche, mais un réveil. À mes débuts chez la famille Montelli, j'ai failli provoquer un incident majeur en arrivant en retard. Depuis, je transporte ce réveil partout avec moi et je n'ai plus jamais été en retard.
Discuter : II
Mon passé ? Rien de bien passionnant, vraiment. Je pointe, je travaille, je rentre, et ça recommence. De temps en temps, je remets quelques fauteurs de troubles dans le droit chemin. Tu t'attendais à une histoire d'héroïne de bureau qui sauve la situation ? Tu as lu trop de bandes dessinées.
À propos de Carlotta
Mlle Carlotta ? Sa vision ne s'est jamais limitée à RagunnaRagunna, ni même à Rinascita. Elle voyait le monde au-delà de l'horizon marin. J'ignore quel avenir elle envisage, mais je resterai à ses côtés jusqu'à ce que sa vision devienne réalité.
À propos de Phoebe
Pour moi, le destin de Ragunna dépend de la volonté de son peuple, pas de la Sentinelle. Beaucoup d'acolytes appelleraient cela une hérésie, mais pas Phoebe. C'est ce qui la rend unique. Elle ne rejetterait jamais les croyances ou les efforts des autres simplement parce qu'ils ne correspondent pas aux siens.
À propos de Cantarella
La famille Fisalia s'est toujours accrochée aux traditions de Ragunna, résistant obstinément au changement. Mais Cantarella, l'actuelle dirigeante, n'est pas aussi traditionnelle que les gens l'imaginent. En tant qu'employée, je ne peux pas influencer la façon dont la famille Montelli gère ses relations avec les Fisalia... mais personnellement, travailler avec elle ne me dérangerait pas.
À propos de Brant
Brant est un acteur talentueux, un capitaine respecté, et un combattant prêt à tout sacrifier pour la vérité et la justice. Mais ce que je lui envie le plus, c'est qu'il n'est jamais noyé sous des piles de paperasse. Si je connaissais un tant soit peu le métier d'actrice, je quitterais ce travail, je rejoindrais la Troupe des Fous, et je vivrais aussi librement que lui... Allons, allons. Ce n'est qu'un doux rêve pour me faire tenir.
À propos de Ciaccona
J'ai vu Ciaccona se produire quelques fois en dehors de la ville. Elle chante souvent le folklore ancien de Rinascita. Je lui ai demandé un jour si elle pensait que l'ère des héros décrite dans ses poèmes était révolue, si les héros avaient déjà quitté la scène de l'histoire. Elle m'a répondu que tant qu'il y aura de la souffrance, quelqu'un se lèvera pour devenir le nouveau héros.
Vœux d'anniversaire
C'est ton anniversaire aujourd'hui. N'est-ce pas, {PlayerName} ? Selon la tradition de Ragunna, nous devons mettre le travail de côté et organiser une grande fête avec tous nos amis. Personne ne part avant minuit ! Ne t'inquiète pas, j'ai déjà tout préparé au Palazzo Agrotta. Aujourd'hui, ma mission est de m'assurer que tu t'amuses comme il faut !
Détendre : I
Bon, où allons-nous maintenant ?
Détendre : II
(Bruit d'effort - Épuisement)
Détendre : III
Il est temps de retourner au travail.
Présentation personnelle
Je suis Zani. Je travaille pour la famille Montelli. Hmm ? Oh, ce n'est pas du fard à paupières. C'est la preuve de mon travail acharné, une médaille d'honneur pour mon dévouement. Ha, si je continue à le répéter, je vais finir par y croire moi-même.
Salutation
Bon, quelle est la première tâche sur la liste d'aujourd'hui ?
Rejoindre l'équipe : I
Tu es entre de bonnes mains.
Rejoindre l'équipe : II
Ne t'inquiète pas. Je suis disponible 24h/24.
Rejoindre l'équipe : III
C'est l'alarme... Bon, il est temps de se mettre au travail.
Ascension : I
Comme le dit le dicton des Montelli : « Une lame ne reste tranchante que si elle est régulièrement affûtée. » Même si c'est uniquement pour le travail, l'exercice est nécessaire.
Ascension : II
Hmm ? Je suis devenue plus... productive ? Comment vais-je faire semblant d'être occupée maintenant...
Ascension : III
Une lumière si éclatante... J'espère qu'elle brillera sur chaque ombre et ne laissera aucune obscurité où se cacher.
Ascension : IV
Ah, quelle puissance... Parfait. Je peux maintenant être le bouclier qui protège davantage de personnes.
Ascension : V
Les mots seuls ne sont pas suffisants pour te remercier pour tout ce que tu as fait pour moi. Maintenant, c'est à mon tour de me battre pour toi. Tu aurais besoin d'une épée incassable ou d'un bouclier qui résiste à tout, par hasard?
Attaque normale : I
C'est vraiment tout ?
Attaque normale : II
Je ne fais que m'échauffer.
Attaque lourde : I
Et je ne me suis même pas donné à fond.
Attaque lourde : II
Si faible !
Attaque lourde : III
Je ne fais que m'échauffer.
Compétence résonatrice : I
Viens !
Compétence résonatrice : II
Viens te battre !
Compétence résonatrice : III
Tu ne me fais même pas une égratignure.
Compétence résonatrice : IV
C'est tout ?
Compétence résonatrice : V
Juste à temps.
Compétence résonatrice : VI
Essaie ça !
Compétence résonatrice : VII
Tss, tu l'auras cherché.
Compétence résonatrice : VIII
Hors de mon... chemin !
Compétence résonatrice : IX
Réduit en poussière.
Libération résonatrice : I
Je n'ai pas que ça à faire.
Libération résonatrice : II
Je peux bien prendre une minute pour cogner quelques têtes.
Libération résonatrice : III
Tous en même temps. Je ne fais pas d'heures sup'.
Libération résonatrice : IV
Pfff, maintenant il faut que je rédige un rapport.
Libération résonatrice : V
Fin de journée !
Libération résonatrice : VI
Quelle perte de temps !
Intro et Outro: I
Sans l'ombre d'un doute.
Intro et Outro: II
En miettes !
Intro et Outro : III
Hein ? Des heures sup' ?
Attaquée : I
Argh. Une erreur de ma part...
Attaquée : II
Je n'ai pas réussi à bloquer... ?
Attaquée : III
Je te le rendrai au centuple.
Blessée : I
Mon bouclier peut résister à bien plus que ça.
Blessée : II
Ce n'est... qu'une égratignure.
Blessée : III
... Tu viens d'en faire une affaire personnelle.
Épuisée : I
Non... J'ai encore du travail à accomplir...
Épuisée : II
Impossible...
Épuisée : III
La justice... sera rendue.
Invoquer un Écho
C'est à toi.
Se transformer
Je ne suis plus en service, c'est ton tour.
Ennemis proches
Bon. Ça fait partie du travail, j'imagine.
Planeur
Un vent parfait pour planer.
Senseur
... Mmh. Je vois.
Ruer
L'efficacité avant tout.
Coffre : I
De l'argent de poche ? Je ne vais pas refuser.
Coffre : II
Quelle aubaine.
Coffre : III
Je prends ça comme compensation pour mes heures sup'.